Je me sentais à la fois très grande et bien petite sur cette corniche. A aucun moment, la longue route sinueuse empruntée, qui semblait monter vers le ciel, ne laissait présager un tel spectacle. L'émerveillement pourtant nous attendait. Nous étions bien en France. A moins d'une centaine de kilomètres de chez nous. Nous avons peu parlé. Simplement respiré, senti, humé. Et puis, ce fût la grande descente jusqu'au village, au creux du méandre. Minuscules, invisibles, points parmi les points, avec plus que jamais la conscience de n'être rien en soi, juste les éphémères particules d'un ancestral Tout.
PS : une des dernières photos prises avec un argentique.
Je n'y entends pas grand chose, je ne rentrerai donc pas dans le détail.
Mais ne ressentez-vous pas une ambiance particulière, différente du numérique ?
je suis passée sur mon blog et déjà oh ! surprise ! j'ai un com concernant "ma" lessive à la cendre !! de Chaperon rouge !!!
(merci, merci)
je viens vous rendre une tite visite sur votre site et je vais de surprise en surprise..
première photo le cirque de Navacelles, qui est un lieu que nous aimons tout particulièrement, mon mari et moi. C'est déjà l'enthousiasme, je descend un tout petit peu et là j'arrêêêête !
Au secours je commence à lire le début de votre article sur les portables, et on dirait nous ????
et ça ne s'arrête pas là : article sur le camembert et photos de ciel !!! tout cela nous parle infiniment.
PS : ma lessive de blanc je dois la faire aujourd'hui, suite sur mon blog sur lequel je vais insérer la photo du ciel que nous avons fait ce matin!