Un titre... euh... je peux réfléchir ?
Publicité
Un titre... euh... je peux réfléchir ?
Un titre... euh... je peux réfléchir ?

Point de nombrilisme, enfin, j'espère ! Plutôt le récit des choses du quotidien ou de l'actu qui m'auront fait réagir. Quelques préférences à faire partager... Hop !
Voir le profil de Chaperon Rouge sur le portail Canalblog

19 octobre 2004

Fait Divers 2

Pas si "fait divers" que ça.

Euh... Je suis étonnée tout de même, ça doit cacher quelque chose, c'est pas le genre de la maison de nous faire des cadeaux.... Admettons. En voilà qui ont peut-être compris où se cache le vrai problème : le prix. Alors, j'aurais aimé une baisse beaucoup plus significative. Mais bon. C'est un début, on va dire. A bon entendeur...

Publicité
Commentaires
C
Ce n'est donc point pure générosité et ça cache bien quelque chose. Mais je persiste et je signe : qu'ils divisent donc leurs tarifs par deux (en ne touchant qu'à la part distribution et maison de disque) et je serai tout le temps chez le "disquaire" à dépenser mes sous (fantasme, quand tu nous tiens...) !<br /> Plus sérieusement, on tourne en rond, non ? Est ce qu'on est condamné à subir cette "dictature" et à pleurer sur ce triste sort ou est ce qu'il existe un moyen d'action pour changer les choses ?
Répondre
D
merci Babel ;-)
Répondre
B
Je pense pas que ça cache quelque chose : ceci est uniquement valable pour les singles, c'est à dire des disques voués à marcher. En fait, il suffit d'une rérganisation des singles (genre : on restreint le choix aux super gloires du moment (avant, c'était seulement les gloires du moment), plutôt axé real-tv pour que l'artiste ne coûtent pas trop cher, et on augmente la production). Mécaniquement, cela permet de produire autant avec moins de titres, donc cela coûte moins cher à fabriquer. Et donc à vendre.
Répondre
D
ouep
Répondre
Publicité
Derniers commentaires
Publicité
Publicité