Point de nombrilisme, enfin, j'espère !
Plutôt le récit des choses du quotidien ou de l'actu qui m'auront fait réagir.
Quelques préférences à faire partager...
Hop !
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Je dois dire que vos interventions, lues ce matin, ont généré dans ma petite tête, tout au long de la journée, beaucoup de commentaires. Mais, inconsciemment, n'était-ce pas le but recherché ? Car, en effet, même si, à mon petit niveau, je mène une sorte de mini combat pour une meilleure image de la femme dans les médias (et j'y inclus Internet), j'apprécie les différents avis qui enrichissent ma réflexion. Bref... <br />
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obni : ce qui est certain, c'est que les publicitaires d'aujourd'hui n'ont pas inventé la poudre. Et, en effet, le message n'était déjà pas toujours très clair. Mais il me semble ressentir le parfum de scandale fort probable à l'époque et ça n'a rien de désagréable ou de malsain. Comme tu le précises à juste titre, ces pubs s'apprécie comme des "peintures", ce qui fait toute la différence, me semble-t-il, par rapport aux pubs filmées. D'autant que de nos jours, il en faut toujours plus et je me demande souvent jusqu'où ils iront.<br />
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blick : je sens de la taquinerie dans ton ton, me gourre-je ? :) Je suis la première à reprocher à la pub, non pas "trop de nudité" tout court, mais trop de nudité féminine dans la pub. En schématisant grossièrement, il m'arrive de penser que nous sommes passés du statut de "bobonne aux fourneaux" à celui de "bonne à consommer". Rien de vraiment gratifiant. Alors, si vraiment il n'y a rien à faire, si vraiment je dois me taire, faisons un pas, dans ce domaine aussi, vers l'égalité des sexes. Juste pour l'illusion...<br />
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Merci à vous deux. ^o^
Très belles pubs d'un autre âge. Mes préférées : chambord et Michelin. Le message ? Difficile à saisir quand même. L'esthétisme : évidemment, comme des peintures que l'on admire dans une galerie.