Sur l'autoroute qui me ramenait de
Sur l'autoroute qui me ramenait de "mon" Alsace-Lorraine natale à "mon" Languedoc-Roussillon d'adoption, je me suis amusée à relever quelques noms d'aires de repos. Nombreuses sont celles qui se rapportent aux communes avoisinantes alors que d'autres proposent des connotations plus poétiques.
Je ne sais pas comment sont choisis ces noms, mais en voici quelques specimens :
aires du Boulet, des Grands Brocards, de La Jument Verte, de Bras de Zil, de La Coucourde, de Savasse, de Bourg Teyssonge, de Blacheronde.
Curiosité, quand tu nous tiens. J'ai eu envie d'élargir la liste de ces noms qui mettent un peu de fantaisie sur ces parcours au travers du territoire français :
aires du Patural, de Taponas, de Bonneville, des Marouettes, de L'Abis, de L'Omble, de La Ripaille, des Marches, de L'Ile Rose, du Mont de Charme, de La Sentinelle, de L'Espérance, de La Noblette, de La Fontaine d'Olive, de L'Epinotte, de Quatre-Vents, du Chêne Peuquet, de La Grande Bucaille, du Réveillon, de l'Omignon, des Herbiers, de L'Estalot, de Beausoleil, de Baume de Marron, des Eprunes, de la Coloterie, de Champignol, de Phalempin, des Crocs-de-la-Terre, du Grand Repenti, du Bois Défendu, du Chat Perché, du Chien Blanc, aires du Hêtre Pourpre, du Cèdre, du Tulipier, du Sophora, du Gingko et du Liquidambar.
Brocard ou Chevreuil (mâle)
Photo : Association ROC